Nightdive Studios a lancé un tweet en l’air (pas si innocent) qui interpelle Disney pour laisser le studio travailler sur un remaster/remake du Doom-like Star Wars: Dark Forces.
Et si je dis « s’il vous plaît » ?
Petite info intéressante du jour, alors que Nightdive Studios travaille d’arrache-pied sur le remake de System Shock qui commence à prend forme, Stephen Kick, le PDG, a publié un tweet rigolo en réponse à l’annulation du dernier jeu Star Wars par EA.
Hey @Disney can we @NightdiveStudio do a remaster of Dark Forces, please? Signed, everyone who likes this tweet. https://t.co/y1OtA5Zppp
— Stephen Kick (@pripyatbeast) 16 janvier 2019
Hey Disney, est-ce que l’on pourrait faire un remaster de Dark Forces, s’il vous plaît ? Signés, tous les gens qui aiment ce tweet.
Si le tweet était un sûrement un trait d’esprit en faisant référence au fait qu’EA est infoutu de livrer un jeu Star Wars, il semblerait que le succès du tweet ait motivé Kick à envisager plus sérieusement cette possibilité.
Thanks for the overwhelming love! I’ll ping our friends at the Mouse House and see if we can start a conversation – this reception is totally worth it.
— Stephen Kick (@pripyatbeast) 16 janvier 2019
Merci à tous pour votre amour débordant ! Je vais notifier nos amis à la maison de Mickey et voir si on peut débuter une conversation. Cette réception en vaut la peine.
Pour ceux qui n’ont pas connu la sacro-sainte époque des années 90, Dark Forces était un Doom-like développé par Lucas Arts en 1995 qui avait su transposer avec brio l’univers de Star Wars à la première personne.
Le scénario raconte l’histoire de Kyle Katarn, un ancien officier de l’Empire qui rejoint l’Alliance rebelle en volant les plans de l’Étoile noire (avant la réécriture de l’univers étendu avec Rogue One). Ses suites donneront les deux excellents Jedi Knight qui élèveront Katarn au rang de Jedi.
Malheureusement, rien que pour le fait que les événements de Dark Forces ne sont plus canon met sérieusement à mal la possibilité de voir un tel jeu un jour. Qui ne tente rien n’a rien.
