« Voilà, c’est le tweet »
Parmi vous, qui s’entêtait à dire/écrire Focus Home Interactive quand il abordait l’éditeur de jeux vidéo français ? Tout le monde se contentait de dire « le jeu édité par Focus », pas vrai ? Eh bien, l’entreprise s’est dit qu’un peu de rebranding ne ferait pas de mal, avec un nom plus simple : Focus Entertainment.
Ainsi, vous êtes désormais certain de ne plus froisser personne en disant tout simplement « Focus« . Créé en 1996, il faut avouer que l’ancien nom de l’éditeur faisait un peu désuet, à une époque où l’entreprise n’était pas encore à 100% dans le business du jeu vidéo.
La marque Focus Entertainment regroupe désormais toutes les activités de Focus, alors que le terme Entertainment est plus représentatif de cette volonté de diversifier les offres, services et flux de revenu. Entertainment souligne également l’ambition d’offrir aux joueurs du monde entier des expériences uniques avec une ligne éditoriale se démarquant grâce à des concepts innovants, des gameplays alternatifs et des univers originaux qui transcendent les frontières du jeu vidéo.
Dans le communiqué de presse qui accompagne ce changement, Focus Entertainment indique que sa croissance et les acquisitions récentes ne sont pas étrangères à cette envie de changer légèrement son image, où l’éditeur estime pouvoir enfin jouer dans la cour des grands.
Les acquisitions de studios tels que Deck13 Interactive, StreumOn Studio et plus récemment Dotemuet son label The Arcade Crew, démontrent la volonté de Focus d’intégrer talents et studios à la vision singulière dans un Groupe fort et ambitieux, afin de favoriser la création de valeur, anticiper les nouvelles tendances et les gameplay innovants.
Tous les titres récents de Focus ne sont pas des réussites critiques et commerciaux retentissants, mais de (très) bonnes surprises comme SnowRunner ou A Plague Tale: Innocence ont permis à l’éditeur de multiplier et diversifier les offres dites AA.
Bien qu’Aliens: Fireteam Elite soit sorti récemment, Focus a encore des jeux dans sa besace pour 2021, comme Aeon Must Die (et ses problèmes légaux qui auraient été ignorés par l’éditeur encore maintenant) et Evil West de Flying Wild Hog (Shadow Warrior). De quoi attendre A Plague Tale: Requiem d’ores et déjà prévu pour 2022.
