Overwatch – Pas de place pour la triche

Nouveau bijou de Blizzard, Overwatch a déjà réuni plus de 7 millions de joueurs. Autant dire 7 millions de possibilités de tricher. Aux grands maux les grands remèdes, Blizzard répond présent pour lutter contre les cheaters.

Pour Overwatch, Blizzard a redonné tout son sens au perma-ban. Alors que les développeurs ont toujours exprimé leur volonté de lutter contre les différentes triches, Overwatch est un exemple frappant de l’envie de Blizzard de rendre le jeu le moins toxique possible. Le site PC Gamer a trouvé dans ses forums des messages qui prouvent que les tricheurs sont marqués à jamais par Blizzard.

“J’ai été banni un jour après la sortie officielle”, raconte un cheater. “J’ai de nouveau acheté le jeu … sans le hacker, je voulais juste m’amuser sur le jeu. Deux jours après, de nouveau banni”.

“J’ai acheté le jeu … encore. Mais avant ça, j’ai effacé toute présence d’Overwatch de mon ordi. Même sans tricher, je n’ai pu jouer qu’un jour”.

Après avoir acheté le jeu une quatrième fois et joué sous un VPN, le tricheur a été banni une fois de plus.

Blizzard est donc très strict sur les conditions d’utilisation d’Overwatch. Une fois que vous avez été pris en train de tricher, c’est fini. Pour de bon. L’éditeur a également souligné qu’il n’y aura pas d’annulation des sanctions. Même si Blizzard tient pour l’instant à ce que les joueurs puissent jouer dans les meilleurs conditions possibles, il n’est pas exclu que des hackers s’attaquent au problème (si ce n’est déjà le cas) afin de mettre à mal les défenses de l’éditeur.

Après, à vous de voir si le bastion-campeur, qui vous tue dès votre sortie de la base, n’est pas déjà un cheat en soi. Pour ces gens là, comme pour les teams composées à 50% de Fatale, il n’y a qu’une destination possible : les Enfers.

Malgré tout, si vous n’avez pas peur de vous frotter à ces joueurs sans scrupules ou si vous voulez tout simplement vivre l’expérience Overwatch, le jeu est disponible chez notre partenaire GoCléCd.fr.